Dans un monde de carnassiers, les herbivores rhétoriques sont en danger.
En 2025, la maîtrise des techniques rhétoriques et des compétences en débat, n’est plus une simple option, mais une obligation.
En 2025, la maîtrise des techniques rhétoriques et des compétences en débat, n’est plus une simple option réservée aux avocats, aux politiciens, ou aux responsables de grands groupes économiques à même de se faire taquiner par Élise Lucet pour un numéro de Cash Investigation.
C’est une nécessité stratégique pour quiconque souhaite survivre dans son environnement professionnel ou social. La société contemporaine, marquée par la surinformation, les polémiques virales et les débats permanents, impose à chacun de savoir argumenter avec précision et efficacité.
Un monde saturé d’informations et d’opinions : défendre ses idées devient vital.
En 2025, l’opinion publique est plus fragmentée que jamais. Les réseaux sociaux, les chaînes d’information continue et les influenceurs, podcasteurs, youtubeurs ou streamers, façonnent en temps réel les perceptions collectives.
Dans ce contexte, quiconque ne sait pas défendre efficacement son point de vue prend le risque d’être marginalisé, amoindri, voire manipulé.
L’art du débat est un outil de leadership.
Les leaders d’aujourd’hui ne sont plus ceux qui imposent leurs idées par l’autorité, mais ceux qui parviennent à convaincre et fédérer. Ceux qui face aux fake news, et aux polémiques artificielles, savent démonter un raisonnement fallacieux.
Savoir répondre aux objections, mobiliser des arguments solides et inspirer confiance devient une compétence stratégique. Les professionnels capables de défendre leurs idées et de convaincre leurs interlocuteurs se démarquent dans tous les secteurs.
Que ce soit pour décrocher un contrat, gérer une négociation tendue ou réussir un entretien d’embauche, les techniques rhétoriques sont vos alliées redoutables.
Se former à l’art du débat : un investissement incontournable.
En 2025, maîtriser l’art du débat n’est plus un luxe, c’est une arme stratégique.
Que vous soyez entrepreneur, cadre ou professionnel en reconversion, les techniques rhétoriques vous permettront d’exprimer vos idées avec clarté, de convaincre vos interlocuteurs et de désamorcer les attaques les plus virulentes.
Le débat est un sport de l’esprit. Comme tout sport, il exige entraînement, méthode et persévérance. Se former à ces techniques, c’est investir dans sa capacité à influencer, à inspirer et à réussir.
Nombreux sont ceux qui ont décidé de se mettre récemment à la course à pied (peut-être en faites-vous partie ?) et nombreux d'entre vous ont sans doute, recourt à des applications ou à des plateformes de coaching et d'entraînement. On y entre ses caractéristiques physiques, ses objectifs et on reçoit un plan d'entraînement personnalisé ou pour le mieux adapté.
Il vous aide à persévérer, à gommer les idées reçues et les fausses bonnes idées, et il y en a autant en art oratoire qu'en préparation du marathon.
Ce type d'accompagnement chez nous c'est notre newsletter débattre et notre podcast. Deux outils gratuits facilement disponibles.
Mais le plus efficace c'est bien entendu l'accompagnement personnalisé.
En présentiel ou à distance, il constitue le vrai sur-mesure, la haute couture de l'accompagnement que nous vous pouvons vous proposer.
Nous travaillons avec vous, à partir de votre corps, de votre voix, de votre culture générale, de vos peurs, de vos forces, de vos limitations, de vos ambitions, de votre expérience, de vos objectifs, de vos espoirs, de vos ambitions, du temps qui vous est disponible, pour devenir un rhéteur de bon niveau.
Pourquoi investir de fortes sommes dans une campagne de pub, dans l’emploi de commerciaux, dans des packagings onéreux si, par ailleurs, le chef d’entreprise ne fait pas correctement son travail d’ambassadeur de business ; s’il évite de prendre la parole en public ou le fait mal ; s’il laisse des « traces digitales » catastrophiques ; s’il refuse les passages dans les médias pourtant si profitables à son entreprise ; s’il apparaît trop souvent comme le militant d’une cause associative, syndicale ou politique au détriment de son image d’entrepreneur?
L’art de l’entrepreneur ne permet-il pas de bien distinguer une charge, d’un investissement, de mesurer la moins-value de sa communication actuelle et la plus-value qu’il peut retirer de l’appui d’un professionnel ?
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